21 avril 2014
1
21
/04
/avril
/2014
21:16
Que de lumières fécondes dans les doux yeux
De ceux qui n’ont pour horizon que la distance à Dieu !
Ils sont à des folies-lumière de toute planète d’existence
Alors qu’une moisson d’étoiles atteste leur présence.
Que de prières rondes dans l’azur des cieux
Qui s’y perdent et s’y trouvent en un temps précieux !
Leurs âmes sont légères dans le vent silencieux
Comme des papillons en un vol minutieux
Qui dessinent le temps tout en gommant l’espace
Et laissant derrière eux quelque petite trace.