15 février 2012
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Après les moulins à vent il ne reste plus que des tempêtes. Le vent n’ayant plus d’ailes à faire tourner ne sait plus quoi faire pour s’épuiser. Il ne lui reste que les tonsures à décoiffer et les jambes des filles qu’il caresse à la dérobée. Et quand le vent se vante d’avoir fait tourner des moulins, les enfants d’aujourd’hui ne le croient pas, alors le vent fait l’important et crie dans les forêts « je suis libre, libre comme le vent », ce faisant, il brise les chênes et l’air de rien fait plier les roseaux. Quant aux oiseaux ils survivent aux moulins mais pour combien de temps ?